Dans cet article, nous allons traiter le musée d’ishikawa comme une pratique importante dans le team management.
Introduction:
Pourriez-vous quantifier dans quel rapport les gens travaillant ensemble dans une entreprise sont-ils conscients du travail de l’autre ? S’ils ne le sont pas, comment pourraient-ils s’entraider et collaborer entre eux ?
Pour favoriser vos collaborateurs à coopérer entre eux dans n’importe quelle entreprise, avoir une conscience mutuelle du travail, connaître les défis, les obstacles, les points faibles à surmonter et développer. Tout ça pourrait influencer le ratio de la collaboration dans une entreprise.
Qu’est ce que le musée d’ishikawa ?
Lors de ma dernière aventure, j’ai travaillé sur une pratique que j’aimerais partager dans cet article. C’est une combinaison de plusieurs outils et méthodes :
– La directive principale :
Il n’y a pas de blâme pour une personne ou un rôle, il y a uniquement des causes factuelles qui génèrent des effets factuels.
“Regardless of what we discover, we understand and truly believe that everyone did the best job they could, given what they knew at the time, their skills and abilities, the resources available, and the situation at hand.”
–Norm Kerth, Project Retrospectives: A Handbook for Team Review.
– Les 5 pourquoi:
Une technique d’analyse des causes profondes, qui permet de plonger profondément dans n’importe quel problème compliqué pour trouver les causes profondes de l’issu, pour le résoudre efficacement à partir des roots plutôt que de le résoudre superficiellement.
Résoudre un problème, de manière superficielle et temporaire, implique la personne à le résoudre encore et encore, c’est-à-dire de manière récurrente. Le problème donc pourrait apparaître comme une chronique, et pourrait causer une énorme fuite d’énergie dans n’importe quel écosystème.
Cette technique construit une relation propre de cause à effet entre les différentes actions qui contribuent à générer un phénomène donné. Au cours de ce processus d’analyse, les gens développent une plus grande conscience et une meilleure compréhension de la plupart des paramètres contextuels qui pourraient influencer l’apparition du problème.
– Le diagramme d’Ishikawa:
Il aide à représenter l’analyse des 5 pourquoi. En dessinant comme un « surgical strike » pour identifier les causes importantes du problème. Ce diagramme est également appelé « diagramme en arête de poisson ».
– Visual Management:
Si vous voulez parler sur les problèmes, il faut avoir le courage d’en parler honnêtement, portant du respect entre vous. Un Visual Management efficace permet à des indices visuels instinctifs de communiquer des informations significatives, succinctes et précises dans l’entreprise, et à la disposition de ceux qui l’ont besoin.
– ART :
Que pensez-vous de créer un musée, une galerie de brainstormings et de diagrammes d’analyse de cause à effet qui expliquent pourquoi certains phénomènes se produisent dans l’écosystème ou l’organisation ? Mettre ces diagrammes Ishikawa sur les murs dans un espace donnera comme résultat : LE MUSÉE ISHIKAWA.
– La loi des 2 pieds :
Laissez les gens découvrir l’espace, savoir plus sur l’état actuel du travail et le musée, le but est de permettre les gens à explorer les réflexions des autres et élargir leur capacité d’interprétation et compréhension. Ça va les permettre à développer leurs expériences et capacité de gérer dans le travail, les défis, et les difficultés. (Si vous souhaitez garder une trace des artefacts d’Ishikawa réalisés sur une plateforme digitale, par les différentes équipes, c’est également acceptable. Le plus important est de sensibiliser l’entreprise).
Si vous voulez appliquer cette pratique, je me mets à votre disposition pour développer l’environnement de travail pour plus de collaboration et d’agilité en éliminant les causes profondes de leurs limitations organisationnelles, des disfonctionnements, et aussi des obstacles. Alors, n’hésitez pas!
Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas à me contacter ou à laisser un commentaire pour plus d’explications. Ma joie réside dans ma capacité à créer un environnement hautement collaboratif dans lequel les gens peuvent produire mieux.
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